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Un parti, pour quoi faire ?

Les questions posées par le Conseil national en sous-entendent une autre : quel est le rôle historique d’un parti communiste dans la période actuelle ? Depuis le 38ème congrès, nous avons décidé de redonner une pleine visibilité au Parti communiste. Nous avons investi de nombreux fronts sans pour autant réussir à incarner le fait que nous étions une alternative crédible. Pire, le RN continue à progresser. Il convient de réinterroger notre pratique pour trouver que faire.

Pour cela, ce texte examine les trois grandes stratégies poursuivies ces dernières décennies : le communisme municipal (1), l’union de la gauche (2) et la présentation de candidats communistes (3). Nous soutenons que le problème fondamental provient du fait que nous n’avons pas porté un projet de rupture avec le capitalisme à même d’amener les électeurs et les électrices à sauter le pas. Le 39ème congrès avait décidé d’entamer le débat sur ce projet (4). Alors qu’il est justement l’urgence pour sortir le Parti de l’impasse dans lequel il se trouve, celui-ci est toujours repoussé au nom des urgences du moment. Le texte examine ensuite les implications stratégiques de cette conception d’un parti révolutionnaire proposant une voie française vers le socialisme (5) et les applique au cas des Gilets jaunes (6). Enfin, il propose quelques pistes organisationnelles pour mener la lutte de classe par-delà le parlementarisme et l’électoralisme (7).

  1. Le communisme municipal face à la baisse tendancielle du nombre d’élu·es

Les politiques d’austérité entraînent un retrait subséquent de la puissance publique et visent à dégager des ressources pour continuer d’accroître le financement public du capital. La marchandisation accrue de toute une série de besoins sociaux, à commencer par le logement, offre de nouveaux champs de valorisation au capital. Inversement, les municipalités et les conquis du « communisme municipal » sont sous tension. Cela limite les possibilités de construire localement une alternative à la société capitaliste.

Nos élu·es et nos sections font leur part et ce travail est généralement salué. Force est toutefois de constater que notre Parti n’est pas vu comme une alternative crédible au niveau national. Or, comme nous l’avons collectivement analysé lors du 38ème congrès, sans déploiement national, notre ancrage local s’émousse au profit d’autres forces. Nous ne pouvons ignorer la nécessité de donner une perspective de conquête et d'exercice du pouvoir d’État pour changer radicalement les conditions d'existence. Cette vision de la conquête du pouvoir doit toutefois dépasser ses retranchements parlementaires pour constituer une vraie ambition idéologique et organisationnelle. Réduire la nécessité d’organisation extraparlementaire à un localisme n’enraye pas l’érosion de notre ancrage militant et électif car nous nous effaçons progressivement au profit des forces mieux identifiées lors des campagnes nationales. C’est de cette baisse tendancielle du nombre d’élu·es dont il nous faut sortir. 

  1. Le salut ne viendra pas de la gauche unie

Nous ne souffrons pourtant plus d’un problème d’incarnation nationale : les études d’opinion montrent la sympathie dont jouit notre Parti à travers la figure de Fabien Roussel. La sympathie n’entraîne cependant pas l’adhésion. Ainsi, une récente étude de Cluster17 pour Le Point estime que 30 % des Françaises et des Français ont de la sympathie pour Fabien Roussel, mais seulement 2% le soutiennent, un chiffre sensiblement proche de notre score électoral. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il agrège 19 % de sympathie dont 9 % de soutien. Avec le vote utile, ce cœur solide lui permet d’espérer atteindre son plein potentiel.

Le RN a su déjouer la mécanique mortifère des institutions de la Vème République en se présentant (faussement) comme une alternative radicalement différente de la gauche et du Macronisme. LFI a su déjouer le vote utile en faveur du PS avant de chercher à recomposer la gauche autour d’elle comme le PS l’avait fait auparavant. Elle s’est présentée comme une alternative radicale - en l’occurrence populiste voire communautariste - au libéralisme de Macron, au capitalisme de préférence nationale du RN mais aussi à la gauche qui a trahi.

Nos propositions sont mieux financées, plus justes et plus cohérentes entre elles que celles des autres forces de gauche… mais nous pesons 2,5 %. Croire que de meilleures propositions pour aménager le système capitaliste nous permettront d’avancer, sans prendre en compte les rapports de force, est un travers idéaliste. S’il s’agit d’aménager le capitalisme, les citoyennes et les citoyens nous le disent assez : « Soyez unis pour que l’on gagne enfin ! ». Dans le système uninominal à deux tours de la Vème République, autant faire l’union dès le premier tour. C’est d’ailleurs ce que nous avons fait avec le Nouveau Front populaire. Or l’union n’enraye pas la baisse tendancielle du nombre de nos d’élu·es et la marginalisation de nos idées.

  1. Un parti qui organise la lutte de classe par-delà les institutions bourgeoises

Notre Parti n’a pas choisi l’électoralisme qui l’affaiblit aujourd’hui ; il le subit, faute d’avoir redéfini son rôle au-delà des institutions parlementaires et municipales. Nous ne pouvons plus nous contenter de soutenir loyalement et constamment les luttes portées par les milieux syndicaux, en nous cantonnant à un rôle de simple fonction support des grèves et manifestations. Ce réflexe, hérité d’une époque où la CGT incarnait une organisation de masse de notre classe et constituait un outil central pour de nombreux camarades, n’est plus adapté à la situation actuelle. Il faut se rendre à l’évidence, ce suivisme passif peine à convaincre les masses laborieuses. Avec un syndicalisme qui ne rassemble plus que 7,8 % de la classe travailleuse et où la fraction ouvrière est la moins investie, la liaison avec notre classe par les syndicats est insuffisante.

Il ne s’agit donc pas simplement de soutenir les luttes, mais de les initier. Cela exige des campagnes structurées, suivies et évaluées sur le long terme, afin d’atteindre des objectifs concrets : établir des contacts et faire adhérer des travailleurs dans des secteurs stratégiques, consciemment choisis. Cela signifie aussi s’engager sur le temps long, au plus près des travailleurs, bien au-delà des événements déclencheurs. L’objectif n’est pas de chercher à influencer telle ou telle organisation, mais d’organiser politiquement la conscience de toute une classe. 

Ce projet implique des choix stratégiques clairs, et donc une direction politique capable de dépasser la simple animation de l’organisation  pour définir des priorités et fédérer toutes les instances du Parti autour de ces axes essentiels : quels secteurs, quelles actions, quelles campagnes.

  1. Retrouver le parti révolutionnaire et affirmer la rupture avec le capitalisme

Pour sortir de cette impasse, nous devons affirmer une ligne radicalement différente du reste de la gauche. Pas être plus malin dans nos propositions mais offrir une alternative suffisamment forte pour qu’elle justifie le coût de la défection du parti le plus fort à gauche voire qui justifie une défaite momentanée. Nous devons être honnête en tenant un langage de vérité : cette défaite est en fait inéluctable tant que la gauche dans son ensemble pèsera autour des 30%. Nous devons avoir l’ambition de faire nôtre l’objectif d’élargir la gauche à la majorité populaire large qui souffre des politiques capitalistes. Et pour cela, nous devons tourner le dos aux débats de la gauche et porter une voie/voix radicalement différente du réformisme de gauche.

À l’échelle européenne, les partis qui résistent ou qui progressent sont des partis qui affirment une ligne de rupture claire. C’est le cas du Parti communiste du Portugal qui recule certes mais conserve des élus. C’est aussi le cas du Parti communiste grec qui progresse très sensiblement ou de nos camarades chypriotes. C’est aussi le cas du Parti du travail de Belgique qui continue sa progression et double son nombre de députés sous le mot d’ordre du « Choix de la rupture ». Bref, il est remarquable que résistent ou progressent les partis qui sont restés historiquement les plus éloignés de l’eurocommunisme et affirment le plus clairement la nécessité de la rupture révolutionnaire. Notre stratégie a été de cacher notre identité communiste sous celle, gazeuse, de « Gauche unie pour le monde du travail » puisqu’elle met en avant une gauche unie fantasmée et un monde du travail sans contenu de classe. Trop souvent nous essayons d’apparaître comme « plus raisonnables », « plus fréquentables » que la FI et non plus « radicaux », plus « déterminés », plus « cohérents » ; en un mot : plus révolutionnaires. 

  1. Le mandat du 39ème congrès : une urgence vitale, pas un supplément d’âme

Il est évident que nous ne passerons pas du jour au lendemain au communisme. Notre 39ème congrès avait confié au Conseil national la charge « de construire les modalités du débat sur les conditions du processus [de transition] vers une nouvelle civilisation ». Ce débat n’a toujours pas eu lieu or, si l’on veut sortir de l’ornière où nous sommes, c’est un discours clair sur la civilisation que nous proposons qu’il nous faut avoir.

Trop souvent, nous opposons la période sectaire du « classe contre classe » des années 1920 aux brillantes réalisations de la gauche unie dans le Front populaire sans voir la dialectique entre les deux périodes : le PCF a pu être audible dans l’union de la gauche car il était une force sociale et militante même s’il n’était pas encore une force électorale. Et il était une force sociale car il avait quelque chose qui attirait une fraction importante de la classe travailleuse : le souffle d’octobre 1917 et son projet socialiste. C’est justement pour assurer le « développement multiple des individus » que notre Parti a développé la Sécurité d’emploi et de formation. C’est pour assurer « l’accroissement des forces productives » que notre Parti a commencé à plancher sur une planification climatique qui répond aux besoins sociaux sans obérer celui d’avoir une planète vivable (plan Empreinte2050). Nous avons les briques du projet de transition que nous voulons mais nous n’osons l’appeler d’un nom qui exprime toute sa radicalité.

Nous pourrions comme Marx parler de « première phase de la société communiste » mais elle est longue et risque d’affaiblir notre crédibilité en assimilant la rupture que nous proposons à la forme parfaitement développée du communisme qui apparaît lointaine à toute personne censée. La tradition nous a donné le terme de socialisme qui évoque directement un projet alternatif au capitalisme qui n’est pas la société à construire du communisme. C’est ce projet que nous devons systématiquement mettre en avant. Il ne nécessite pas de repenser l’intégralité de notre doctrine mais de réarticuler ses acquis et d’intervenir dans tous les débats en mettant en avant la nécessité de la rupture pour construire le socialisme.

  1. Retrouver un parti de classe et travailler à organiser la fraction prête au combat

Quelles sont les fractions de la population qui peuvent se reconnaître dans un tel projet de rupture avec le capitalisme qui passerait par la nationalisation et la gestion sociale de tous les grands moyens de production ? Il nous faut définir quelles sont ces fractions de la population qui ont intérêt à la mise au pas du « libre marché », par une extension radicale de la Sécurité sociale sous la forme d’une Sécurité d’emploi et de formation ? Celle-ci, liée à la planification étatique (marqueur communiste), assurerait à l’ensemble des travailleurs et des travailleuses un emploi bien payé, proche du lieu de vie et des trajectoires sociales ascendantes.

C’est évidemment bien l’ensemble de la classe travailleuse qui a intérêt à un tel projet. Toutes celles et ceux qui vivent de leur travail et dont une part de la plus-value produite est captée au cours du processus d’exploitation pour rémunérer la classe capitaliste est intéressé par un tel projet socialiste. Les salarié·es, privé·es d’emploi et retraité·es qui ne disposent pas des moyens de production ni d’un revenu suffisant pour accumuler du capital représentent l’immense majorité de la population. Ne pas parler de l’intérêt de la classe travailleuse dans son ensemble à ce projet serait renoncer à une lecture de classe pour une lecture populiste ou ouvriériste.

Néanmoins, s’arrêter là dans notre réflexion tactique serait au contraire de l’économicisme. L’état du Parti, qui n’est pas un parti de masse, implique de focaliser nos efforts pour qu’il le redevienne. C’est parmi les fractions travailleuses qui n’ont plus rien à perdre que nous devons consacrer nos efforts pour le redevenir : celles et ceux qui ont un travail mais qui chuteraient dans la misère la plus absolue en le perdant. Ce prolétariat qui a uniquement sa force de travail pour vivre et qui ne possède rien d’autres de précieux que ses enfants, pas d’économies ou de patrimoine, et dont le travail lui-même est soit précaire, soit très faiblement rémunéré doit être le groupe auprès de qui le Parti communiste s’organise. Il faut que « ceux d’en bas fassent l’objet de tous les efforts d’organisation », car ils sont le moteur révolutionnaire, sans pour autant en exclure les autres fractions de la classe travailleuse.

  1. La preuve par les Gilets jaunes ? Répondre à une situation prérévolutionnaire

Concrètement, cette fraction prolétaires se compose des ouvrier·es, notamment de la logistique et de l’agroalimentaire, si précaires, des employé·es, notamment du commerce, malmené.es, mais aussi des professions intermédiaires de la santé, violemment maltraitées par l’austérité. Il s’agit de la fraction qui a le plus fortement participé aux Gilets jaunes. Avec 3 millions de participant·es selon l’estimation quantitative la plus aboutie, soit 7 % du corps électoral, il s’agit d’une mobilisation d’une ampleur inédite, similaire à celle de juin 1936 par le nombre de personnes impliquées.

Fondamentalement, le mouvement témoigne du caractère prérévolutionnaire de l’antagonisme de classe si l’on en reprend la définition par Lénine dans La maladie infantile du communisme comme le moment où « “ceux d'en bas” ne veulent plus et “ceux d'en haut” ne peuvent plus continuer de vivre à l'ancienne manière » Les Gilets jaunes ont montré que ceux d’en bas n’en veulent et n’en peuvent plus. Le macronisme a montré que « ceux d’en haut » ne veulent plus, n’ont pas de projet national, se contentent d’extraire jusqu’au dernier euro de profit qu’ils investissent ailleurs.

Qu’une part se fourvoie quand elles pointent « les hommes politiques » ou pire « les étrangers » comme responsables, n’empêche pas qu’il s’agit d’une fraction de la classe travailleuse qui n’en peut plus et est prête à se mobiliser, sans trop savoir comment et pourquoi. Le rôle de notre parti est alors de redevenir un parti prolétarien de masse pour être capable de sentir finement la situation de classe, de formuler les mots d'ordre et développer les organisations qui vont permettre à la classe travailleuse de se mettre plus vite et plus fort en mouvement. C'est tout le travail mené par le PCF à partir des années 1920 et 1930 : le bon dirigeant, celui qu'il faut retenir, former et à qui il faut donner des responsabilités, c'est celui qui est capable de se connecter aux masses et d'impulser l'organisation de l'action collective. 


Conclusion

Au cours des dernières années, le parti a eu recours à différentes approches qui n’ont pas su le sortir du réduit où il est acculé. L’absence de stratégie pour la transformation du cadre social et économique dans son ensemble obère la capacité du parti à enrayer la baisse tendancielle du nombre d’élus ou de peser dans les rassemblements de la gauche. Les électeurs et les électrices prennent en compte le rapport de force quand ils votent. Pour un parti affaibli électoralement, l’adhésion ne se fait pas sur une sympathie mais sur un programme radicalement différent qui proposerait, par exemple, une rupture révolutionnaire. C’est le seul moyen de déjouer la recherche de boucs émissaires et de raviver l’antagonisme fondamental de notre classe avec la bourgeoisie.

 L’affirmation d’un projet socialiste pour la France permet de penser la stratégie que nous devons déployer, le discours sur la classe travailleuse que nous devons développer, les fractions de cette classe auprès desquelles nous devons concentrer tous nos efforts organisationnels et les formes pratiques que ceux-ci doivent prendre. Les briques de ce socialisme à la française ont été développées par des années de travail patient, le tout doit dorénavant être systématisé et nommé. Le 39ème congrès avait confié au CN la tâche d’organiser le débat à ce sujet,  il n’a pas eu lieu. C’est pourtant la condition sine qua non pour pouvoir peser lors des scrutins et au-delà. La conférence nationale doit être l’occasion de rattraper ce retard et de mener le débat le plus important de notre histoire : pourquoi sommes-nous communistes ? 

Signataires issus de 67 fédérations :

  1. Jean Claude Achard (63)
  2. Sophia Akrour (94)
  3. Jean-Yves Allegre (13)
  4. Joëlle Allemand (66) Membre du Conseil départemental
  5. Alain Alphand (04)
  6. Aurélien Alphon-Layre (75)
  7. Cécile Alphon-Layre (30) Responsable fédérale à la formation
  8. Brice Alvarez (30) Membre du comité de section
  9. Claude Andreani (93)
  10. Cathy Apourceau-Poly (62) Sénatrice
  11. Jose Ardura (90) Membre du  Conseil départemental
  12. Zacharie Aspina (13)
  13. Patrick Aubisse (33)
  14. Jacky Auchères (78)
  15. Gabriel Augeat (44) Secrétaire départemental MJCF, comité de section
  16. Roséane Auguenois (31) Secrétaire de section
  17. Laurence Bachman (75) Membre de l'exécutif de section
  18. Stéphane Bailanger (33) Trésorier de section
  19. Jasmin Balleste (34)
  20. Helena Banton (75)
  21. Marguerite B (75)
  22. Pierre Barbagelata (83) Membre du comité exécutif départemental
  23. Paul Barbazange (34) Responsable fédéral à la formation
  24. Maxime Barbazange (34)
  25. Laurent Barbier (63) 
  26. Dominique Barzasi (69)
  27. Luc Basin (26) Membre du comité de section
  28. Lorenzo Battisti (75)
  29. Serge Baudouin (36)
  30. Lucas Bauve (92)
  31. Pascal Bavencove (62)
  32. Amar Bellal (35) Membre du comité exécutif national
  33. Olivier Belon (94)
  34. Dominique Ben (59) 
  35. Kamel Ben Azouz (62) Trésorier fédéral
  36. William Benadji (06) Secrétaire fédéral à l'organisation
  37. Maryse Benech (75) 
  38. Pierre Benichou (91)
  39. Sylvie Berio (69)
  40. Françoise Bernard-Cordomi (31) Membre du Conseil départemental
  41. Renée Bertet (69)
  42. Henry Berthet (30)
  43. Mathis Berthier (30)
  44. Pablo Biancarelli (84)
  45. Michel Bianco (13)
  46. Bertrand Bickart (75)
  47. Stéphane Bienvenue (69)
  48. Nathalie Bigatti (07)
  49. Aymeric Bizouarn (56)
  50. Sandra Blaise (88) Membre de l'exécutif national
  51. Victor Blanc (92)
  52. Élise Blanchard (26)
  53. Arnaud Blot (92)
  54. François-Xavier Bobrie (75)
  55. Lucas Boghossian (69) Secrétaire de section
  56. Gérard Boisson (33)
  57. Marcel Claude Boixiere (35)
  58. Tristan Bonnieu (34) Membre du Conseil départemental
  59. Cora Bouchée (94)
  60. Tehei Bouguemari (31)
  61. Maïa Bouquet (94)
  62. Nicolas Bourcy (13)
  63. Christian Bourgoin (78) Membre du Conseil départemental
  64. Gauthier Bouviala (81) Secrétaire de cellule
  65. Ulysse Bouzi (75)
  66. Jean-Claude Bracq (94) Membre du Conseil départemental
  67. Judith Briat-Galazzo (42)
  68. Olivier Bronès (94)
  69. Ghislain Brossier (75)
  70. Enzo Broucaret (75)
  71. Pascal Brula (69)
  72. Fred Brule (35)
  73. Edmond Bruneel (62) Trésorier de section
  74. Philippe Brunet (19) Membre du Conseil départemental
  75. Emmanuel Buchert (75)
  76. Marie-Christine Burricand (69) Membre du Comité exécutif national
  77. Nicole Caballé (30)
  78. Jules Caia (75) Secrétaire de cellule
  79. Maëva Calogine (35)
  80. Michèle Carbonnier Ben Azouz (62) Membre du Conseil national
  81. Léo Carrier (13)
  82. Valentin Cartillier (75)
  83. Christian Carzo (06) Bureau de section
  84. Lorrain Castel (49)
  85. Cyril Catala (31)
  86. Michel Caubet (86)
  87. Tao Celce (13)
  88. Voussad Challal (75) 
  89. Josian Champion (17) Comité de section
  90. Thibault Champrobert (63)
  91. Louis Chanteloup (36)
  92. Corentin Chapartegui Fréchinet (31)
  93. Norbert Charpentier (04) 
  94. Alice Charrié (72)
  95. Fanny Chartier (75) Secrétaire fédérale à l'organisation
  96. Mathis Chartier (35)
  97. Philippe Chartreux (35)
  98. Henri Chassagne (94)
  99. Adela Chauveau Barrales (75)
  100. Michel Chauvet (45)
  101. Guy Chayvialle (78) Membre du comité de section
  102. Hakim Cherikh (75) 
  103. Hocine Chougar (91)
  104. Alban Chrétien (75)
  105. Louis Chrétien (17)
  106. Lucien Claustre (93)
  107. Marc-André Claustre (93)
  108. Odile Clemente (06)
  109. Joseph Climent (13)
  110. Hélène Cogez (75)
  111. Noel Collet (74)
  112. Brigitte Contant (94)
  113. Joël Copin (62)
  114. Nicolas Cossange (34) Secrétaire fédéral
  115. Aimé Couquet (34)
  116. Ander Courtier (31)
  117. Taran Coutarel (63) Membre du Conseil départemental
  118. Noa Cretté (88)
  119. Arnaud Daimé (82) Secteur formation
  120. Iban Dard--Merle (91)
  121. Isabelle d'Aubuisson-Roulet (91)
  122. Floryane Dauriac (13)
  123. Bernard Davillier (88)
  124. Dominique Davillier (88)
  125. Guilhem De Bourmont (44)
  126. Alice De Brito (94)
  127. André De Clerck (80)
  128. Jean-Axel De Freites (31)
  129. Toni De Gennaro (13)
  130. Marlène De Gennaro (13)
  131. Enzo De Gregorio (29)
  132. Michel Dechamps (04)
  133. Cédric Delelis (62)
  134. Mathis Deleu (75)
  135. Marie-Claude Delfau (16)
  136. Jean-Claude Delaunay (94)
  137. Taylan Demir (13)
  138. Alec Desbordes (75) Responsable fédéral aux entreprises, secrétaire de section
  139. Lucien Deschamps (94)
  140. Jason Devoghelaere (77) Secrétaire de section
  141. Rémi Didier (76)
  142. Jean-François Dron (93)
  143. Danièle Dubois (17) 
  144. Paul Dumas (44)
  145. Marianne Dunlop (62)
  146. Daniel Dupont (62)
  147. Maëva Durand (94) Membre de comité exécutif de section
  148. Margaux Dussaud (37)
  149. Jean Marc Duvieubourg (62) Comité de section
  150. Patricia Duvieubourg (62) Trésorière de section
  151. Badis Eldjer (75)
  152. Walid El Mghari (81) Membre du Conseil départemental
  153. Bernard Ethuin (59) Secrétaire de section
  154. Esteban Evrard (62) Membre du Conseil national
  155. Pascal Eychart (75)
  156. Yvan Fayet (16)
  157. Rémi Ferront (73)
  158. Alain Fevrier (78) Secrétaire de Section
  159. Gilles Figuères (40)
  160. Serge Flaconneche (87)
  161. Georges Flavin (69)
  162. Véronique Forestier (69) Membre du Conseil départemental
  163. Jean-Christophe Fournel (71) Membre du Conseil national
  164. Jean-Robert Fraco (75)
  165. Bernard Frederick (95)
  166. Mathieu Fremaux (69) Membre de la Commission immigration
  167. Roger Froissard (88) Secrétaire de section
  168. Manuel Furter Alphand (13) Secrétaire de cellule
  169. Lucienne Gabrielle (89)
  170. Clément Gaillard (56)
  171. Frédérique Gallien (69) Membre du Conseil national
  172. Jean-Michel Gama (91)
  173. Marie-Claude Gargani (13) Membre du comité de section
  174. Maxence Garnier-Le Minor (35)
  175. François Gautier (77)
  176. Paulette Gentil (77)
  177. Xavier Gesdon (13)
  178. Clara Giminez (34) Membre du Comité exécutif national
  179. Alain Girard (55)
  180. Baptiste Giron (63)
  181. Laura Gisbert (63)
  182. Bernard Giusti (77)
  183. Gisèle Gori (62) Secrétaire de section adjointe
  184. Didier Gosselin (38)
  185. Enki Goullier (69) Membre du Conseil départemental
  186. Gilles Gourlot (93) Membre du Conseil national
  187. Françoise Goux (91)
  188. Vanessa Grandon (44) 
  189. Xavier Guesdon (13)
  190. Kevin Guillas-Cavan (75) Trésorier de section
  191. Régine Guilleminot (76) 
  192. Denis Guillet (69)
  193. Jean-Marc Guilloux (76)
  194. Jeremy Guiorguieff (94) Secrétaire à l'organisation de section
  195. Pierre-Adrien Guisset (69), Secrétaire fédéral MJCF
  196. Manuel Haja (62) secrétaire de sectio, Comité fédéral
  197. Antoine Hamria (75)
  198. Chloé Hazera (75)
  199. Jeao Heloir (30)
  200. Eben Herisse (86)
  201. Erwan Hingant (92)
  202. Mathieu Hingant (77)
  203. Gabriel Holard (94)
  204. Alain Honvault (62)
  205. Michel Iafelice (13) Membre du bureau de section
  206. Matthias Iber (90)
  207. Nathalie Jalowezak (93)
  208. Edmond Janssen (75)
  209. Brice Javaloyes (24)
  210. Yves Jestin (77)
  211. Paul-Amour Jouanaud (75)
  212. Didier Jousse (72) Responsable fédéral aux entreprises
  213. Jonathan Juillard (69)
  214. Louis Juste (13) Secrétaire de section
  215. Schahin Karagoz (45) Secrétaire de section
  216. Shadia Kilouchi (33)
  217. Fati Konate (94) Élue municipale
  218. Joris Labourayre (75)
  219. Gabriel Lafargue (67)
  220. Athur Lalan (80) Secrétaire fédéral
  221. Eric Lambert (38) Membre du Conseil départemental
  222. Florian Langlois (77)
  223. Nicolas Lantran (91)
  224. Jean Lapeyre (40)
  225. Pascal Laroche (35)
  226. Jacques Laur (46)
  227. Lhea Le Flecher (56) Secrétaire fédérale MJCF
  228. Shawan Le Govic (17)
  229. Regine Le Jeloux (91) Trésorière de section
  230. Bernard Le Jeloux (91) Secrétaire de cellule
  231. Amaury Lebreton (62)
  232. Lilian Lecomte (75)
  233. Armand Lecoq (47)
  234. Monique Lecoq (47) Secrétaire de section
  235. Fabienne Lefebvre (94) Membre du Conseil national
  236. Marie-Caroline Lefeuvre (56) Membre de l’exécutif fédéral
  237. Albert Leglois (88) Membre de l'exécutif départemental
  238. Jean-Paul Legrand (81) Secrétaire de section
  239. Vanessa Legrand (81)
  240. Marie-Noëlle Lekouara (69)
  241. Jason Lelièvre (93)
  242. Valentin Lemaire De Simone (75)
  243. Camille Lemarchand (92) Membre de l'exécutif fédéral
  244. Denis Lemercier (14)
  245. Victor Leny (33) Responsable de la modélisation du plant climat Empreinte 2050
  246. Thomas Lévy (30) Co-secrétaire de cellule
  247. Andrée Loscos (69)
  248. Nicolas Lourenco (75)
  249. Yago Lourido Alverez (69) Secrétaire de cellule
  250. Sylvie Loyau (38) Membre du comité de section
  251. Soizic Lozachmeur (59) Membre du Conseil national
  252. Patrick Mainguene (35)
  253. Sandra Mainguene (35)
  254. Shana Maisueche (13)
  255. Bruno Maldonado (71)
  256. Dominique Malegat (91)
  257. Bernard Malfon (28)
  258. Anne Manauthon (06) Membre du Conseil national
  259. Gerard Mantovani (93)
  260. Elie Marcoux (69)
  261. Taran Marec (29) Exécutif fédéral
  262. Jules Margotin (91)
  263. Billy Margueron (73) Co-secrétaire fédéral, membre du Conseil national
  264. René Marin (83)
  265. Jean-Pierre Maron (34) Secrétaire de section
  266. Franck Marsal (33)
  267. Michel Martin (13)
  268. Alexis Martin (88) Secrétaire de cellule
  269. Pierre Martin (94) 
  270. Jean Martineau (60)
  271. Chloé Matheaud (63) 
  272. Nicolas Maury (13) Secrétaire de section
  273. Laurent Mely (75) Secrétaire de section d'entreprise
  274. Maxence Mendes Da Silva (37) Membre de l'exécutif fédéral
  275. Raphaël Mequignon (62) Secrétaire de section
  276. Nadia Mersali (94)
  277. Guilhem Mevel (93)
  278. Jean-Pierre Meyer (83) Membre du Conseil national
  279. Michel Michel (55)
  280. Aurélien Millet (69)
  281. Pierre-Alain Millet (69) Membre du Conseil départemental
  282. Théo Molmy (77)
  283. Chantal Mongheal (69) 
  284. Tristan Montbroussous (35) Secrétaire de section, membre de l'exécutif fédéral
  285. Claire Moreau (94) Membre du Conseil départemental
  286. Leila Moussavian-Huppe (33)
  287. Maris Muzas (69) Membre du Conseil départemental
  288. Luigi Nannucci (37)
  289. Jean-Marc Nassiet (44)
  290. Jean-Pierre Neel (30)
  291. Loan Nguyen (69) 
  292. Titouan Nico (17) Conseil départemental
  293. Kristina Nikolaishvili (75)
  294. David Noël (62)
  295. Nans Noyer (69)
  296. Mireille Ollivier-Jouanaud (48) Responsable fédérale à la formation
  297. Thomas Ouvrard (94)
  298. Serge Paboeuf (35)
  299. Lucas Panza (62) Membre du comité de section
  300. Julie Papon-Bagnès (75)
  301. Hugo Patoureaux (69) Membre du Conseil départemental
  302. Arlette Pavesi-Moitie (33)
  303. Martin Pawlowski (62) Secrétaire fédéral du MJCF
  304. Monique Pécastaing (34)
  305. Willy Pepelnjak (38) Co-secrétaire de section
  306. Bertrand Pericaud (62) Membre du Conseil départemental
  307. Alain Picard (07)
  308. Michel Picard (30) Trésorier de cellule
  309. Michèle Picard (69) Membre du Conseil national
  310. Camille Pinet (84)
  311. Roger Pinet (45)
  312. Kentin Plinguet (86) Comité exécutif départemental et de section
  313. Jean-Pierre Poggi (06)
  314. Jean-Jacques Poignant (51)
  315. Hervé Poly (62) Secrétaire fédéral, membre du Comité exécutif national
  316. Mireille Popelin (69)
  317. Ivan Potier (76)
  318. Margot Privé (75)
  319. Daniil Quinson (49)
  320. Cédric Quintin (94) Membre du Conseil départemental
  321. Jean-Pierre Quirin (88)
  322. Yannick Rain (29)
  323. Alexandre Rault (56) 
  324. Carl Ravoavy (75) Secrétaire de section
  325. Michel Ray (58)
  326. Andry Razafindrakoto (34)
  327. Samuel Regibaud (63) 
  328. Jean-Louis Remande (61)
  329. Gilbert Remond (69)
  330. Michel Reynaud (69)
  331. Maximilien Reyneès-Dupleix (82) Secrétaire de section, Membre du Secrétariat fédéral
  332. Daniel Richard (74) Membre du comité de section
  333. Vladimir Richardeau, Secrétaire de section, Membre de l'exécutif départemental
  334. Georges Rivière (91)
  335. Jacquy Rivoalan (35)
  336. Erwan Rivoalan (29) Co-secrétaire de section
  337. Mireille Roberty (65)
  338. Julien Rock (57) Porte-parole fédéral, membre du Conseil départemental
  339. Anaïs Rodriguez (31) Membre du comité exécutif de section
  340. Gilbert Rodriguez (60)
  341. Benoît Roger (62) Membre du Conseil national
  342. Roger Romero (33)
  343. Flavien Ronteix (31) Membre de la commission Révolution Numérique
  344. Rachel Ropiquet (92)
  345. Maurice Rost (78)
  346. Adeline Roulet (91) Membre du Conseil départemental
  347. Bruce Royer (84)
  348. Eric Ruiz (27) Co-secrétaire de Section
  349. Alain Rumeau (13)
  350. Marie Claude Rumeau (13)
  351. Émile Sabatier (34) Secrétaire financier de la fédération du MJCF
  352. Patrick Saint Martin (82) Membre comité de section
  353. Jean Sainty (84)
  354. Michel Salingue (62)
  355. Marc Salsac (31) Membre du comité exécutif de section
  356. Pierre Salvadori (75) Membre du Conseil départemental
  357. Laurent Santoire (91) Membre du Conseil départemental
  358. Tibor Sarcey (75)
  359. Bernard Sarton (13) Comité exécutif de section
  360. Clément Saunier--Bouyssier (75) 
  361. Michel Sautel (44) Trésorier de section
  362. Vincent Savalli (30)
  363. Aurélien Scandolara (69) 
  364. Ygor Segouffin (31)
  365. Stephanie Segouffin (31)
  366. Nicole Sereni (13)
  367. Francis Siedzianowski (78)
  368. Francis Silande (77)
  369. Alain Simione (13)
  370. Emmanuelle Simon (75)
  371. Eustacia Soares (75)
  372. Ada Sochou (92)
  373. Jean Sourd (13)
  374. Claude Stancic (69)
  375. Valère Staraselski (77)
  376. Raphaël Steiger (94)
  377. Nicolas Stienne (93)
  378. Jean-Jacques Suzanne (44)
  379. Pierre Taïeb (75)
  380. Pierre Thiou (35)
  381. Henri Thivilier (69)
  382. Alain Thubert (42) Secrétaire de section
  383. Bernard Trannoy (33) Membre du comité exécutif de section
  384. Danielle Trannoy (33) Secrétaire de section
  385. Rolande Trassard (84)
  386. Anthony Tromeur (30)
  387. Serge Truscello (69) Secrétaire de section
  388. Lukas Tsiptsios (75)
  389. Jean-Charles Van bervesseles (41)
  390. Régine Vançon-Leglois (88) Membre du Conseil départemental
  391. Mathis Vandamme (59)
  392. Gabriel Vandervort (94)
  393. Claude Varenne (83)
  394. Jean-Claude Vaslet (69)
  395. Stéphane Vasseur (94)
  396. Jean-Baptiste Vasseur (44)
  397. Gérard Venel (13) Trésorier de section
  398. Didier Verdavaine (62)
  399. Renee Vergnes (34)
  400. Jean Pierre Vergnes (34) Secrétaire de section
  401. Anouk Veyret (94) 
  402. Rémi Veyssière (63) 
  403. Pierre Viallet (34)
  404. Danièle Viallet (34) 
  405. Jonathan Victor (63)
  406. Robert Vigier (06) Secrétaire adjoint de section
  407. Serge Vinet (94) Secrétaire à l'orga de section
  408. Jean Marie Viseur (62) Comité Départemental
  409. Valentin Watbled (69)
  410. Marie-France Winghardt (91) Secrétaire de section
  411. Monique Wirth (88)
  412. Joël Yan (64)
  413. Umit Yildiz (93) Membre du Conseil départemental
  414. Gilbert Zaffini (84)
  415. Antonin Ziane (94)
  416. Alessandro Zontone (75)

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