Je m’appelle Valentine, étudiante M2 à l'EUK-CVL. Dans le cadre de mon mémoire de fin d’étude, je réalise avec l’aide de mon directeur de mémoire, un état des lieux de la pratique de la rééducation des céphalées de tension par les masseurs-kinésithérapeutes. 

Ce questionnaire s’adresse à l’ensemble des masseurs-kinésithérapeutes, diplômés de l'État français et exerçant en France. Que vous preniez en charge ou non des patients atteints de céphalées de tension, vous pouvez participer à ce recueil de données. En répondant à ces questions vous contribuez à une meilleure compréhension des expériences professionnelles et des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes concernant cette maladie. Les résultats de cette étude permettront d’identifier les besoins en matière de formation et d’information. Nous vous remercions par avance pour le temps que vous consacrerez à ce recueil de données et pour votre aide dans ce projet. Le temps nécessaire pour le compléter est estimé à environ 5 minutes. 

•  Pourquoi les céphalées de tension ?

La céphalée de tension est une maladie neurologique causée par l’activation de systèmes nociceptifs crâniens, en l’absence de lésion sous-jacente. Il s’agit de la céphalée primaire la plus fréquemment rencontrée mais elle reste très méconnue par le corps médical, et est encore sous-estimée. Cette maladie entraîne une altération de la qualité de vie, un handicap ainsi qu’une perte de rendement professionnel qui sont considérables, et justifient une prise en charge médicale. Nous, masseurs-kinésithérapeutes, avons notre rôle à jouer pour diminuer les paramètres des céphalées et améliorer la qualité de vie de ces patients !

• Consentement 

Le recueil de votre consentement est indispensable pour pouvoir utiliser vos réponses anonymisées. Les données à caractère personnel sont protégées par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) n° 2016/679 et la loi n° 78-17 du 06 janvier 1978 dite « informatique et liberté » modifiée. Nous vous précisons que vos données ne feront l’objet d’aucune exploitation illicite, et ne seront utilisées que pour une finalité de recherche, conformément à l’article 9 du Code Civil.