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Nos morts dispersés

 

Les pratiques funéraires reflètent les mutations profondes en cours dans nos sociétés. Elles s’écologisent en se reliant plus sensiblement aux territoires et aux besoins intimes de ceux qui partent et ceux qui restent. La dispersion des cendres hors des cimetières et des jardins du souvenir prévus à cet effet est autorisée en France, cependant peu de concitoyen.nes savent exactement ce qu'il est possible de faire, où et comment disperser "en pleine nature" les cendres de proches défunts. Nous manquons de témoignages pour mieux connaître ces pratiques et ces expériences, alors aidez nous, une petite équipe de chercheur.e.s en Sciences Humaines et Sociales de l'Université Grenoble Alpes, en témoignant ici.

De quels gestes de dispersion avez vous été témoin ou acteur.trice et qu'en reste t-il dans votre mémoire sensible?

photo: dispersion au cimetière de Courtrai. Crédits P. Thiollière 2013

 

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Vous avez assisté à une dispersion comme témoin ou activateur.trice. Quels souvenirs en gardez vous?
Vous souvenez-vous de son déroulé, du temps qu’il faisait, de la disposition des participants, des éléments marquants du paysage ou de l’environnement proche, d’un événement qui a pu perturber ou faciliter la dispersion, des actes et gestes particuliers effectués individuellement et/ou collectivement autour de la dispersion?
un.e membre de la famille, enfant ou conjoint.e, ami.e, collègue...
Par des visites sur le lieu de dispersion, des pensées, photos, une page mémorial numérique, un monument ou autel domestique, des rituels ou encore tout autre chose?
Merci beaucoup pour votre participation. Les témoignages seront anonymisés et repartagés sur un site dédié au projet. N'hésitez pas à nous contacter pour approfondir l'échange ou suivre notre enquête.
plus d'infos sur le projet: https://aau.archi.fr/cresson/projets-de-recherche/ ou pascaline.thiolliere@grenoble.archi.fr

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